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Sur l'île de Tayaki, de nombreuses filles vivent avec de graves séquelles des mutilations génitales féminines. C'est le cas de Makalé Camara, jeune adolescente, qui a souffert d'une anémie sévère et d'une infection qui a failli lui coûter la vie après son retour du camp d'excision. Au cours d'un dialogue de génération sur ce sujet à Tayaki, elle a déclaré que "les mutilations génitales féminines ne constituent pas une bonne pratique".